L’Agence France-Presse s’était préparée depuis un an, scrutant le moindre détail pour déterminer la meilleure position, mais la pluie a bouleversé les plans de la cérémonie d’ouverture.

Près de 50 photographes étaient postés dans les airs, sur les toits des monuments, sur le pont des bateaux ou sur les rives de la Seine pour diffuser quelque 3 500 photos, le 26 juillet.

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Pour la couverture de ces Jeux, pas moins de 70 reporters-photographes sont mobilisés sur les sites olympiques, à Paris, en province et en Polynésie, pour nous émerveiller dans des décors de carte postale. Six mille images en moyenne sont transmises chaque jour en temps réel à une vingtaine d’éditeurs qui ont la charge de corriger, recadrer et légender celles-ci.

Les équipes disposent également de boîtiers subaquatiques au fond de la piscine et d’une vingtaine de robots sous les toits des sites pour réaliser des images zénithales ; sans compter les nombreux appareils commandés à distance aux bords de la piste qui permettent d’offrir des angles différents. Tout va très vite, et pour le 100 mètres qui représente la valeur étalon, il ne s’écoule que 40 secondes entre la première image et sa réception dans les médias.

Pierre Fernandez, Responsable de la promotion des contenus - Direction de l’Information de l'AFP

Collectif de photographes AFP

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