Sa photo de « la fillette en vert » - rescapée à l’âge de 10 ans d’un attentat suicide à Kaboul - a fait la une des grandes publications du monde entier et lui a valu le prix Pulitzer, un World Press et une distinction au NPPA.

Aujourd’hui, Massoud Hossaini expose non seulement ses photos de l’attentat sanglant du 6 décembre 2011, mais également des images de la vie quotidienne dans un pays qu’il couvre depuis 2004.

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« J’ai un regard extérieur sur l’Afghanistan parce que je n’ai pas grandi ici mais en Iran », raconte Massoud, 30 ans, de nationalité afghane. « La plupart des gens considèrent la guerre comme faisant partie de leur lot quotidien mais ce n’était pas le cas pour moi en Iran », ajoute-t-il.

Les Occidentaux ont tendance à ne voir l’Afghanistan qu’à travers le prisme d’une guerre qui, pour eux, a démarré avec les attentats du 11-Septembre.

Mais en Afghanistan Massoud est chez lui, et il a à cœur de dépeindre traditions et scènes de la vie courante.

Massoud Hossaini

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