Si la crise du Covid-19 a été « une tragédie humaine qui porte à l’économie […] un coup d’une gravité sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale » (rapport de la Banque mondiale), elle n’a pas atteint aussi durement tous les pays et les individus. Ceux qui cumulaient déjà les vulnérabilités, ceux dont « un petit coup renverse aussitôt la personne » ont été pris dans la tourmente.

Les réfugiés et déplacés des pays en développement, déjà contraints au déracinement par la misère ou la violence, comptent parmi les personnes les plus vulnérables au monde. Le moindre choc supplémentaire menace de les faire basculer de la précarité à la survie. La pandémie a fermé les frontières, coupant les liens qui les reliaient à leur pays d’origine. Elle les a privés d’une économie informelle vitale à leur subsistance, a aggravé la fragilité de leurs conditions sanitaires et a compliqué leur accès aux ressources de base.

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Guillaume Binet

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