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Presse quotidienne - première partie
Presse Quotidienne
Lauréat·e : Visa d’or de la Presse Quotidienne Gökşin Sipahioğlu by Sipa Press 2025
Depuis 1990, Visa pour l’Image donne rendez-vous aux quotidiens internationaux. Ceux qui chaque jour nous informent exposent l’actualité de l’année écoulée. En 2025, 24 titres présentent leurs reportages. Pour la deuxième fois, Sipa Press offre un prix de 8 000 euros au gagnant du Visa d’or de la Presse Quotidienne Gökşin Sipahioğlu by Sipa Press.
Découvrez l'exposition

Ibrahim (27 ans), ancien membre du Jama’a Nusrat ul-Islam wa al-Muslimin (JNIM), un groupe affilié à Al-Qaïda, pose pour un portrait. Niamey, Niger, 9 février 2024. © Carmen Yasmine Abd Ali pour The Washington Post
Ibrahim, 27, a former member of Jama’at Nusrat al-Islam wal-Muslimin, an al-Qaeda affiliated group known as JNIM, poses for a portrait. Niamey, Niger, February 9, 2024. © Carmen Yasmine Abd Ali for The Washington Post

Olekseï Kravtchenko suit une rééducation après avoir perdu un bras et une jambe. « Nous étions 200, nous ne sommes plus que douze », dit-il. Lviv, 18 janvier 2025.

Alors que les bombes tombent sur la ville, les filles du « Princess Ballet » dansent dans un abri souterrain. La guerre gronde au-dessus, mais la grâce persiste en bas. Kharkiv, 22 janvier 2025.

Au centre Superhumans, les vétérans amputés réapprennent à vivre. Ils sont plus de 100 000 en Ukraine aujourd’hui. Lviv, 18 janvier 2025.

Kharkiv est frappée quotidiennement par des frappes aériennes, mais les dégâts sont rapidement nettoyés. La ville refuse de devenir une ruine. Kharkiv, 22 janvier 2025.

La Dr Walaa retrouve sa maison en ruines près de deux ans après que sa famille a fui la guerre civile qui fait rage dans le pays. Khartoum, Soudan, 23 avril 2025.
Dr. Walaa returns to her destroyed home nearly two years after her family fled the city for safety during the country’s civil war. Khartoum, Sudan, April 23, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Vue aérienne de Kassala, une ville de l’est du Soudan vers laquelle de nombreuses personnes ont fui. L’ONU parle de « la pire crise humanitaire et de déplacement au monde ». Kassala, Soudan, 16 janvier 2025.
An aerial view of Kassala, a city in eastern Sudan that many people fled to. The UN has called it “the most devastating humanitarian and displacement crisis in the world.” Kassala, Sudan, January 16, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Renad Ahmed (3 ans) souffre de malnutrition sévère. Il est soigné à l’hôpital Al-Buluk, le seul hôpital pédiatrique de la région. Omdourman, Soudan, 26 avril 2025.
Renad Ahmed, 3, who has severe malnutrition, is treated at Al-Buluk Hospital, the only pediatric hospital operating in the region. Omdurman, Sudan, April 26, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Une épave d’avion sur le tarmac de l’aéroport international de Khartoum, occupé par les Forces de soutien rapide jusqu’en mars. Khartoum, Soudan, 26 avril 2025.
A destroyed plane sits on the tarmac at Khartoum International Airport, which was occupied by the paramilitary Rapid Support Forces until March. Khartoum, Sudan, April 26, 2025.

Un homme creuse une tombe à Khartoum. Des dizaines de milliers de personnes sont mortes depuis le début des combats en avril 2023. Le nombre exact de morts est inconnu. Khartoum, Soudan, 27 avril 2025.
People watch as a grave is dug in Khartoum. Tens of thousands of people have died since fighting began in April 2023. The exact death toll is unknown. Khartoum, Sudan, April 27, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Akram Aljnidi (24 ans), syro-néerlandais, avec sa mère Mariam (51 ans) à la frontière entre la Syrie et la Jordanie. Maintenant que Bachar al-Assad est tombé, ils reviennent voir ce qui reste de leur pays d’origine. Frontière Syrie-Jordanie, 26 janvier 2025.
Syrian-Dutch Akram Aljnidi (24) stands with his mother Mariam (51) at the Syria–Jordan border. Now that Bashar al-Assad has fallen, they return to see what’s left of their homeland. Syria-Jordan border, January 26, 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

Ammar, le neveu d’Akram, frappe avec une babouche la statue renversée de Hafez al-Assad, le père de Bachar. Ammar a perdu son propre père dans un attentat une semaine avant la chute d’Assad. 1er février 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

La famille Akram est originaire de Talbissé, une ville du gouvernorat de Homs. À Homs, la capitale provinciale, le nouveau drapeau syrien est accroché devant les bâtiments détruits. Homs, 28 janvier 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

Akram et sa mère Mariam rendent visite à des proches. Ils espèrent aussi pouvoir revenir vivre dans leur pays, mais Akram et ses frères et sœurs plus jeunes veulent d’abord terminer leurs études aux Pays-Bas. 29 janvier 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

Akram est convaincu que les nouveaux dirigeants de la Syrie souhaitent œuvrer pour le bien-être du pays. « Maintenant qu’Assad est tombé, tout ne peut qu’aller mieux », dit-il. 31 janvier 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

La mosquée à l’entrée de Donja Jablanica qui a été submergée par les eaux de crue et la boue est entourée de débris provenant d’un glissement de terrain. Donja Jablanica, Bosnie-Herzégovine, 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Dans le village de Zlate, un glissement de terrain dévastateur a balayé une maison, tuant tragiquement la femme enceinte qui y vivait. 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Des secouristes s’étreignent après avoir sorti une nouvelle victime des décombres et de la boue. 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Un bénévole prend un instant pour la prière du soir après une longue journée à évacuer les débris et à aider les secouristes. Zlate, 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

La pollution de la Neretva causée par les inondations à la centrale hydroélectrique de Grabovica, une potentielle catastrophe environnementale. 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Des soldats du M23 patrouillent dans les rues de Goma. La vie a repris son cours depuis que le groupe rebelle a pris le contrôle d’importants territoires dans l’est du Congo. Goma, Nord-Kivu, RDC, 24 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

« Frost », mineur de coltan, couvert de poussière de pierre. Les conditions de travail sont dangereuses dans la mine de Rubaya et les accidents mortels sont fréquents. Rubaya, Nord-Kivu, RDC, 23 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

À 50 mètres de profondeur dans le puits de mine creusé à la main, 20 jeunes mineurs extraient les minéraux à la main et les transportent jusqu’à la surface. Rubaya, Nord-Kivu, RDC, 23 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Une jeune fille transporte un sac de coltan au marché de Rubaya. 10 000 personnes travaillent dans les mines de Rubaya, dont beaucoup ne sont pas adultes. Rubaya, Nord-Kivu, RDC, 23 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Alliance (21 ans) enlace sa fille Amielle (4 ans) à l’hôpital de Goma. Amielle a vu des hommes armés entrer par effraction dans la maison familiale et violer sa mère qui est maintenant enceinte. Goma, Nord-Kivu, RDC, 20 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Les équipes de désamiantage ont des mesures de protection rigoureuses qui incluent des vêtements spécialisés et des protocoles stricts. Badia del Vallès, Catalogne, Espagne, 24 juillet 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Une patiente au service pneumologie de l’hôpital Vall d’Hebron où sont effectués des tests liés à l'amiante. L’inhalation d’amiante peut causer un type de cancer appelé mésothéliome. 30 août 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Une fois retiré, l'amiante est stocké selon des règles strictes. Les désamianteurs sont auscultés chaque année afin de surveiller leur état de santé. 24 juillet 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Les désamianteurs lavent les masques spéciaux qu’ils ne peuvent porter plus de quatre heures de suite. 24 juillet 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Alliance (21 ans) enlace sa fille Amielle (4 ans) à l’hôpital de Goma. Amielle a vu des hommes armés entrer par effraction dans la maison familiale et violer sa mère qui est maintenant enceinte. Goma, Nord-Kivu, RDC, 20 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Des jeunes font quelques courses au Rock Store sur le site du festival. Au « Rock am Ring », les besoins des 80 000 fans de musique doivent être satisfaits. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Tournée de shots lors d’un enterrement de vie de jeune fille. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

L'organisateur Matt Schwarz sur l’Utopia Stage, quelques minutes avant l’entrée en scène de Green Day. Mener le festival le plus connu d'Allemagne vers l’avenir est un travail de tous les jours. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Ingo Knollmann, chanteur des Donots, au milieu de ses fans. Bien que la programmation soit aujourd'hui plus variée, l’ADN du festival reste le même : « guitare-heavy rock ». Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Les coulisses, quelques minutes avant le concert. Les fans assistent à un spectacle avec décors et effets pyrotechniques, mais en coulisses la logistique est moins glamour. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Timo Vuorma, originaire de Pudasjärvi, gravit le tremplin de saut à ski de Hanganvaara une centaine de fois par hiver. De nombreux sports de ski finlandais restent en vie grâce à un petit groupe de sauteurs à ski. 27 novembre 2025. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

En plus du saut à ski, Timo Vuorma est un amateur de chasse et joue de la batterie. La loutre et le renard qu’il expose chez lui sont ses trophées. 27 novembre 2025. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Matti Saari, habitant du village de Pekkala dans la municipalité de Rovaniemi, a construit un tremplin de saut à ski dans son propre jardin. Il existe encore plus d’une centaine de tremplins pour le saut à ski de part et d’autre de la Finlande. 30 novembre 2024. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Les dimensions du tremplin de Matti Saari respectent les normes de la Fédération internationale de ski (FIS). N’ayant pas suffisamment de neige, il a dû s’en procurer sur un terrain de football à proximité. 30 novembre 2024. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Marat Emelianov (13 ans) saute depuis le tremplin de Herttoniemi à Helsinki. Les conditions pour pratiquer les sports d’hiver à Helsinki sont difficiles. La neige est souvent insuffisante pour recouvrir les rails. 21 mars 2024. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Le site du QG du Hezbollah où, le 27 septembre 2024, l’aviation israélienne a largué 85 bombes, tuant Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, et une partie de son état-major. Beyrouth, Liban, 14 décembre 2024. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Dans le stade de Beyrouth et tout autour, plus d’un million de personnes sont venues accueillir les corps du « Sayyed » et de son successeur, qui a été tué le 3 octobre. 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Les miliciens du Hezbollah se frappent le torse pour signifier leur colère et leur détermination. Beyrouth, 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

La délégation officielle iranienne composée du ministre des Affaires étrangères et du chef des Gardiens de la révolution, qui sera tué le 13 juin 2025 au premier jour des frappes israéliennes sur l’Iran. Beyrouth, 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Les combattants accompagnent jusqu’à leur mausolée les cercueils d’Hassan Nasrallah et de son éphémère successeur, Hachem Safieddine. Beyrouth, 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Un point de contrôle de la police militaire des forces de l’Armée nationale syrienne (ANS) sur la route entre Manbij et la ligne de front avec les forces kurdes. Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Abou Jumma (au centre), chef d’une faction de l’ANS, accompagné de trois de ses hommes dans leur quartier général à Manbij. Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Un combattant des forces spéciales de la Division Sultan Mourad, une faction de l’ANS, inspecte un tunnel creusé par les forces kurdes lorsqu’elles administraient la ville. Manbij, Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Nour Abou Oslam, combattant des forces spéciales de la Division Sultan Mourad, montre des mines récupérées dans un tunnel creusé par les forces kurdes. Manbij, Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Un jeune garçon devant le mur du cimetière de Manbij. Syrie, janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

À Bukavu, un commissariat de police a été vidé, les armes emportées, et le matériel restant brûlé par les rebelles du M23. RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Moubala, blessé par une balle perdue, raconte : « Il y avait des adolescents armés dans notre quartier. Peut-être jouaient-ils simplement, mais les balles ont atteint les maisons. » Bukavu, RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

La Croix-Rouge congolaise inhume en périphérie de Bukavu 18 corps non identifiés retrouvés dans les rues après la prise de la ville par le M23. RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Selon la Croix-Rouge, à l’intérieur des 18 sacs mortuaires se trouvent les corps non identifiés d’hommes en tenue militaire et celui d’un enfant d’environ 10-12 ans vêtu d’un treillis. RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Des rebelles du M23 dans les rues de Bukavu. RDC, 22 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Alyona (52 ans) : « Les négociations de trêve sont une chance, même si je crains que tout cela soit inventé par les Occidentaux dans le seul but de nous nuire. » Kostroma, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Ludmila Vasilyeva (84 ans) : « J’en suis sûre : les bonnes personnes sont la majorité, il faut juste les réveiller. » Saint-Pétersbourg, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Vera (42 ans) : « Mon rêve est que le pays soit à nouveau composé d’endroits non pas où nous nous cachons derrière une clôture, mais où nous vivons ensemble. » Région de Kostroma, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Alexandre (30 ans) : « Je rêve qu’il y ait plus de vie autour de nous. Des musiques, des pensées. Pour que nous puissions, sans crainte, avoir la conviction que demain est possible. » Tomilino, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Oksana (54 ans) et sa fille Masha (24 ans), réfugiées russes de Donetsk : « Une “mauvaise paix” vaut mieux qu’une bonne guerre sans fin. Nous en avons déjà souffert. » Région de Moscou, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde



































































Ibrahim (27 ans), ancien membre du Jama’a Nusrat ul-Islam wa al-Muslimin (JNIM), un groupe affilié à Al-Qaïda, pose pour un portrait. Niamey, Niger, 9 février 2024. © Carmen Yasmine Abd Ali pour The Washington Post
Ibrahim, 27, a former member of Jama’at Nusrat al-Islam wal-Muslimin, an al-Qaeda affiliated group known as JNIM, poses for a portrait. Niamey, Niger, February 9, 2024. © Carmen Yasmine Abd Ali for The Washington Post

Olekseï Kravtchenko suit une rééducation après avoir perdu un bras et une jambe. « Nous étions 200, nous ne sommes plus que douze », dit-il. Lviv, 18 janvier 2025.

Alors que les bombes tombent sur la ville, les filles du « Princess Ballet » dansent dans un abri souterrain. La guerre gronde au-dessus, mais la grâce persiste en bas. Kharkiv, 22 janvier 2025.

Au centre Superhumans, les vétérans amputés réapprennent à vivre. Ils sont plus de 100 000 en Ukraine aujourd’hui. Lviv, 18 janvier 2025.

Kharkiv est frappée quotidiennement par des frappes aériennes, mais les dégâts sont rapidement nettoyés. La ville refuse de devenir une ruine. Kharkiv, 22 janvier 2025.

La Dr Walaa retrouve sa maison en ruines près de deux ans après que sa famille a fui la guerre civile qui fait rage dans le pays. Khartoum, Soudan, 23 avril 2025.
Dr. Walaa returns to her destroyed home nearly two years after her family fled the city for safety during the country’s civil war. Khartoum, Sudan, April 23, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Vue aérienne de Kassala, une ville de l’est du Soudan vers laquelle de nombreuses personnes ont fui. L’ONU parle de « la pire crise humanitaire et de déplacement au monde ». Kassala, Soudan, 16 janvier 2025.
An aerial view of Kassala, a city in eastern Sudan that many people fled to. The UN has called it “the most devastating humanitarian and displacement crisis in the world.” Kassala, Sudan, January 16, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Renad Ahmed (3 ans) souffre de malnutrition sévère. Il est soigné à l’hôpital Al-Buluk, le seul hôpital pédiatrique de la région. Omdourman, Soudan, 26 avril 2025.
Renad Ahmed, 3, who has severe malnutrition, is treated at Al-Buluk Hospital, the only pediatric hospital operating in the region. Omdurman, Sudan, April 26, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Une épave d’avion sur le tarmac de l’aéroport international de Khartoum, occupé par les Forces de soutien rapide jusqu’en mars. Khartoum, Soudan, 26 avril 2025.
A destroyed plane sits on the tarmac at Khartoum International Airport, which was occupied by the paramilitary Rapid Support Forces until March. Khartoum, Sudan, April 26, 2025.

Un homme creuse une tombe à Khartoum. Des dizaines de milliers de personnes sont mortes depuis le début des combats en avril 2023. Le nombre exact de morts est inconnu. Khartoum, Soudan, 27 avril 2025.
People watch as a grave is dug in Khartoum. Tens of thousands of people have died since fighting began in April 2023. The exact death toll is unknown. Khartoum, Sudan, April 27, 2025. © Giles Clarke / CNN.com

Akram Aljnidi (24 ans), syro-néerlandais, avec sa mère Mariam (51 ans) à la frontière entre la Syrie et la Jordanie. Maintenant que Bachar al-Assad est tombé, ils reviennent voir ce qui reste de leur pays d’origine. Frontière Syrie-Jordanie, 26 janvier 2025.
Syrian-Dutch Akram Aljnidi (24) stands with his mother Mariam (51) at the Syria–Jordan border. Now that Bashar al-Assad has fallen, they return to see what’s left of their homeland. Syria-Jordan border, January 26, 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

Ammar, le neveu d’Akram, frappe avec une babouche la statue renversée de Hafez al-Assad, le père de Bachar. Ammar a perdu son propre père dans un attentat une semaine avant la chute d’Assad. 1er février 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

La famille Akram est originaire de Talbissé, une ville du gouvernorat de Homs. À Homs, la capitale provinciale, le nouveau drapeau syrien est accroché devant les bâtiments détruits. Homs, 28 janvier 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

Akram et sa mère Mariam rendent visite à des proches. Ils espèrent aussi pouvoir revenir vivre dans leur pays, mais Akram et ses frères et sœurs plus jeunes veulent d’abord terminer leurs études aux Pays-Bas. 29 janvier 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

Akram est convaincu que les nouveaux dirigeants de la Syrie souhaitent œuvrer pour le bien-être du pays. « Maintenant qu’Assad est tombé, tout ne peut qu’aller mieux », dit-il. 31 janvier 2025. © Daniel Rosenthal / de Volkskrant

La mosquée à l’entrée de Donja Jablanica qui a été submergée par les eaux de crue et la boue est entourée de débris provenant d’un glissement de terrain. Donja Jablanica, Bosnie-Herzégovine, 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Dans le village de Zlate, un glissement de terrain dévastateur a balayé une maison, tuant tragiquement la femme enceinte qui y vivait. 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Des secouristes s’étreignent après avoir sorti une nouvelle victime des décombres et de la boue. 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Un bénévole prend un instant pour la prière du soir après une longue journée à évacuer les débris et à aider les secouristes. Zlate, 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

La pollution de la Neretva causée par les inondations à la centrale hydroélectrique de Grabovica, une potentielle catastrophe environnementale. 6 octobre 2024. © Nik Erik Neubauer / Dnevnik

Des soldats du M23 patrouillent dans les rues de Goma. La vie a repris son cours depuis que le groupe rebelle a pris le contrôle d’importants territoires dans l’est du Congo. Goma, Nord-Kivu, RDC, 24 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

« Frost », mineur de coltan, couvert de poussière de pierre. Les conditions de travail sont dangereuses dans la mine de Rubaya et les accidents mortels sont fréquents. Rubaya, Nord-Kivu, RDC, 23 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

À 50 mètres de profondeur dans le puits de mine creusé à la main, 20 jeunes mineurs extraient les minéraux à la main et les transportent jusqu’à la surface. Rubaya, Nord-Kivu, RDC, 23 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Une jeune fille transporte un sac de coltan au marché de Rubaya. 10 000 personnes travaillent dans les mines de Rubaya, dont beaucoup ne sont pas adultes. Rubaya, Nord-Kivu, RDC, 23 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Alliance (21 ans) enlace sa fille Amielle (4 ans) à l’hôpital de Goma. Amielle a vu des hommes armés entrer par effraction dans la maison familiale et violer sa mère qui est maintenant enceinte. Goma, Nord-Kivu, RDC, 20 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Les équipes de désamiantage ont des mesures de protection rigoureuses qui incluent des vêtements spécialisés et des protocoles stricts. Badia del Vallès, Catalogne, Espagne, 24 juillet 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Une patiente au service pneumologie de l’hôpital Vall d’Hebron où sont effectués des tests liés à l'amiante. L’inhalation d’amiante peut causer un type de cancer appelé mésothéliome. 30 août 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Une fois retiré, l'amiante est stocké selon des règles strictes. Les désamianteurs sont auscultés chaque année afin de surveiller leur état de santé. 24 juillet 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Les désamianteurs lavent les masques spéciaux qu’ils ne peuvent porter plus de quatre heures de suite. 24 juillet 2024. © Manu Mitru / El Periódico

Alliance (21 ans) enlace sa fille Amielle (4 ans) à l’hôpital de Goma. Amielle a vu des hommes armés entrer par effraction dans la maison familiale et violer sa mère qui est maintenant enceinte. Goma, Nord-Kivu, RDC, 20 mars 2025. © Niclas Hammarström / EFN

Des jeunes font quelques courses au Rock Store sur le site du festival. Au « Rock am Ring », les besoins des 80 000 fans de musique doivent être satisfaits. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Tournée de shots lors d’un enterrement de vie de jeune fille. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

L'organisateur Matt Schwarz sur l’Utopia Stage, quelques minutes avant l’entrée en scène de Green Day. Mener le festival le plus connu d'Allemagne vers l’avenir est un travail de tous les jours. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Ingo Knollmann, chanteur des Donots, au milieu de ses fans. Bien que la programmation soit aujourd'hui plus variée, l’ADN du festival reste le même : « guitare-heavy rock ». Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Les coulisses, quelques minutes avant le concert. Les fans assistent à un spectacle avec décors et effets pyrotechniques, mais en coulisses la logistique est moins glamour. Nürburg, Allemagne, 8 juin 2024. © Frank Röth / Frankfurter Allgemeine Zeitung

Timo Vuorma, originaire de Pudasjärvi, gravit le tremplin de saut à ski de Hanganvaara une centaine de fois par hiver. De nombreux sports de ski finlandais restent en vie grâce à un petit groupe de sauteurs à ski. 27 novembre 2025. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

En plus du saut à ski, Timo Vuorma est un amateur de chasse et joue de la batterie. La loutre et le renard qu’il expose chez lui sont ses trophées. 27 novembre 2025. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Matti Saari, habitant du village de Pekkala dans la municipalité de Rovaniemi, a construit un tremplin de saut à ski dans son propre jardin. Il existe encore plus d’une centaine de tremplins pour le saut à ski de part et d’autre de la Finlande. 30 novembre 2024. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Les dimensions du tremplin de Matti Saari respectent les normes de la Fédération internationale de ski (FIS). N’ayant pas suffisamment de neige, il a dû s’en procurer sur un terrain de football à proximité. 30 novembre 2024. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Marat Emelianov (13 ans) saute depuis le tremplin de Herttoniemi à Helsinki. Les conditions pour pratiquer les sports d’hiver à Helsinki sont difficiles. La neige est souvent insuffisante pour recouvrir les rails. 21 mars 2024. © Mikko Suutarinen / Helsingin Sanomat

Le site du QG du Hezbollah où, le 27 septembre 2024, l’aviation israélienne a largué 85 bombes, tuant Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, et une partie de son état-major. Beyrouth, Liban, 14 décembre 2024. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Dans le stade de Beyrouth et tout autour, plus d’un million de personnes sont venues accueillir les corps du « Sayyed » et de son successeur, qui a été tué le 3 octobre. 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Les miliciens du Hezbollah se frappent le torse pour signifier leur colère et leur détermination. Beyrouth, 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

La délégation officielle iranienne composée du ministre des Affaires étrangères et du chef des Gardiens de la révolution, qui sera tué le 13 juin 2025 au premier jour des frappes israéliennes sur l’Iran. Beyrouth, 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Les combattants accompagnent jusqu’à leur mausolée les cercueils d’Hassan Nasrallah et de son éphémère successeur, Hachem Safieddine. Beyrouth, 23 février 2025. © Nicolas Cleuet / L’Humanité

Un point de contrôle de la police militaire des forces de l’Armée nationale syrienne (ANS) sur la route entre Manbij et la ligne de front avec les forces kurdes. Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Abou Jumma (au centre), chef d’une faction de l’ANS, accompagné de trois de ses hommes dans leur quartier général à Manbij. Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Un combattant des forces spéciales de la Division Sultan Mourad, une faction de l’ANS, inspecte un tunnel creusé par les forces kurdes lorsqu’elles administraient la ville. Manbij, Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Nour Abou Oslam, combattant des forces spéciales de la Division Sultan Mourad, montre des mines récupérées dans un tunnel creusé par les forces kurdes. Manbij, Syrie, 9 janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

Un jeune garçon devant le mur du cimetière de Manbij. Syrie, janvier 2025. © Philémon Barbier / Hors Format pour La Croix

À Bukavu, un commissariat de police a été vidé, les armes emportées, et le matériel restant brûlé par les rebelles du M23. RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Moubala, blessé par une balle perdue, raconte : « Il y avait des adolescents armés dans notre quartier. Peut-être jouaient-ils simplement, mais les balles ont atteint les maisons. » Bukavu, RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

La Croix-Rouge congolaise inhume en périphérie de Bukavu 18 corps non identifiés retrouvés dans les rues après la prise de la ville par le M23. RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Selon la Croix-Rouge, à l’intérieur des 18 sacs mortuaires se trouvent les corps non identifiés d’hommes en tenue militaire et celui d’un enfant d’environ 10-12 ans vêtu d’un treillis. RDC, 20 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Des rebelles du M23 dans les rues de Bukavu. RDC, 22 février 2025. © Paloma Laudet / Le Figaro

Alyona (52 ans) : « Les négociations de trêve sont une chance, même si je crains que tout cela soit inventé par les Occidentaux dans le seul but de nous nuire. » Kostroma, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Ludmila Vasilyeva (84 ans) : « J’en suis sûre : les bonnes personnes sont la majorité, il faut juste les réveiller. » Saint-Pétersbourg, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Vera (42 ans) : « Mon rêve est que le pays soit à nouveau composé d’endroits non pas où nous nous cachons derrière une clôture, mais où nous vivons ensemble. » Région de Kostroma, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Alexandre (30 ans) : « Je rêve qu’il y ait plus de vie autour de nous. Des musiques, des pensées. Pour que nous puissions, sans crainte, avoir la conviction que demain est possible. » Tomilino, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde


Oksana (54 ans) et sa fille Masha (24 ans), réfugiées russes de Donetsk : « Une “mauvaise paix” vaut mieux qu’une bonne guerre sans fin. Nous en avons déjà souffert. » Région de Moscou, Russie, mars 2025. © Mary Gelman / Le Monde
